Pourquoi j’ai choisi Wriiters : LA plateforme de rédaction premium

On lit tellement de choses sur le métier de rédacteur Web ! Certains de mes confrères garantissent qu’il est possible de gagner très bien sa vie en exerçant un métier passionnant. Dans la réalité il y trois poids, trois mesures et trois façons d’être rédacteur Web :

  • les rédacteurs qui gagnent bien leur vie et qui se font plaisir ;
  • les rédacteurs qui gagnent bien leur vie, mais qui préfèrent vendre des formations et recevoir les bénéfices de l’affiliation ;
  • les rédacteurs qui se galèrent à écrire des dizaines de milliers de mots sur des sujets inintéressants pour gagner des broutilles.

Quel rédacteur web êtes-vous ?

J’avoue que je me suis identifiée aux deux premières catégories. J’estime que la rédaction d’articles est un métier d’intellos créatifs et touche-à-tout. Ce n’est pas tout ! Les rédacteurs web indépendants sont curieux, ont l’esprit de synthèse, sont débrouillards, autonomes, courageux, pointus, réactifs, exigeants, rapides et bien-sûr bons en orthographe et en syntaxe, avec un vocabulaire riche (merci à Lucie Rondelet qui est une mine d’informations vraiment pertinentes sur ce métier). Comment serait-il possible que ce type de personnalités s’étiolent dans une rédaction machinale et sans vie ?

La réalité est toute autre : avant de pouvoir vivre correctement de ce métier, il faut trouver les clients qui vous correspondent. C’est-à-dire ceux qui vous payeront dignement pour un travail intéressant où toutes vos qualités entreront en vibration. Waouh ! Pour ça, il faut avoir de la chance, de l’ambition, du culot et une stratégie.

Alors en attendant d’êtres prêts à saisir l’opportunité qui les propulsera dans la béatitude, les rédacteurs débutants rédigent sur des plateformes. Il y a du travail, beaucoup de travail et d’autant plus de travail que vous y passez des nuits blanches pour gagner votre croûte, car il faut écrire plus vite que son ombre pour s’y retrouver financièrement. Je ne vous parle pas de l’ennui profond des thématiques abordées. Il faut souffrir pour quoi au fait ?

Ce sombre tableau digne de Les Misérables, c’était avant ! Avant quoi ? Avant Wriiters !

Une autre plateforme de rédaction est possible !

Crée en février 2018 par Rodrigue Fenard, co-fondateur de Soumettre.fr (allez comprendre cette référence non-dissimulée au BDSM), Wriiters s’est donné pour mission de révolutionner la plateforme de rédaction. Comment ? En faisant plaisir à tout le monde :

  • aux rédacteurs web freelance usés de rédiger sur des thèmes qu’ils connaissent peu pour pas un rond, mais qui rêvent d’écrire sur les sujets qu’ils maîtrisent au prix qu’ils valent ;
  • aux clients qui manquent de temps pour rédiger un brief sur une plateforme ou qui n’ont pas le temps de préparer un projet de rédaction avec un rédacteur indépendant.

Le principe est tellement évident, que personne n’y avait pensé avant… Imaginez une boutique d’articles, de fiches produits, de fiches conseils sur tous les thèmes pour alimenter votre site ou votre blog. Vous explorez les rayons, un article vous plaît, vous le mettez dans votre panier, vous payez et vous le téléchargez immédiatement ! Une sinécure !

La plateforme est alimentée par plus de 200 rédacteurs professionnels prolifiques. Les textes sont évidemment uniques et garantis sans plagiat. Intéressé-e ? Découvrez Wriiters immédiatement ! Faites un petit détour sur ma « boutique », j’écris sur la santé, la technologie, la psychologie, les comportements sociaux, l’agriculture bio, les énergies renouvelables, les animaux, l’éducation et le bricolage… (le code ZFF9XR98 vous permettra d’obtenir une réduction de 2 €)

Wriiters : le leader du prêt-à-poster

Commander des textes sur Wriiters, c’est permettre aux auteurs de choisir les justes prix auxquels ils veulent et peuvent travailler (les charges sociales et les commissions correspondent parfois à la moitié du prix d’un article, voire davantage). Les tarifs sont ceux de rédacteurs Web Premium professionnels.

Évidement, après une année d’existence, les pâles imitations pointent le bout de leur nez… Rodrigue est un homme d’affaires, il développe son projet chaque jour, l’enrichit, l’améliore. Comme dans une entreprise collaborative non proclamée, les rédacteurs donnent leurs avis, sont appelés à contribuer, pour créer une plateforme qui leur ressemble. Et à ceux qui souhaitent imiter Wriiters, nous sommes tous d’accord sur la question : copiez le concept si vous voulez, mais faites mieux !

Rodrigue Fenard est un excellent coordinateur, il traite les rédacteurs qui vendent sur sa plateforme  avec beaucoup d’égards et ne vole pas les 20 % de commission qu’il reçoit pour chaque vente. Les rédactrices et les rédacteurs Web Premium qui sévissent sur la plateforme sont des professionnels et sont enchantés de la liberté que Wriiters leur permet dans la gestion de leur travail de rédaction. Si je change d’avis, vous le saurez…

J’ai choisi Wriiters parce que j’avais besoin de créer une page de vente sur ce blog (disons que Rodrigue a eu la même idée que moi, avant et en plus grand), de montrer mon portfolio et d’optimiser les articles invendus (ça arrive). Wriiters m’a permis de ne pas choisir et de bénéficier d’un tremplin de grande qualité en bénéficiant de tarifs intéressants.

 

Pour vous faire une idée des contenus vendus, des tarifs et des thématiques qui partent le mieux, voici les statistiques publiées en mars 2020 :

 

Ah oui, une dernière chose : pour une plus grande transparence, j’ajoute que je ne suis ni salariée, ni payée pour écrire cet article. Si j’avais proposé cet article sur la plateforme Wriiters, j’aurais empoché 70 €, selon mes tarifs. Les seuls intéressements dont je dispose sont des liens d’affiliation. Je toucherais 5 % de la vente si vous achetez un article après avoir cliqué sur un de mes liens. Alors, soyez grand prince, choisissez-vous un article prêt-à-poster…

Vous cherchez des contenus pour vos blogs : c’est ici que ça se passe !

Des textes déjà rédigés, documentés et sérieux : voilà ce que cherchent les clients de Wriiters. En voici, une petite sélection, sur différents thèmes.

Régime : pourquoi je ne maigris pas ?

Selon une étude publiée en 2010, 80 % de personnes ayant suivi un régime pour maigrir avaient repris le poids perdu au bout d’un an. Par quels mécanismes le corps résiste-t-il ? La suite dans ma boutique…

Ce texte met en évidence les 4 raisons principales de l’échec d’un régime et propose, sous forme de conseils avisés, des corrections à appliquer dans votre quotidien.

En bonus, deux idées de régimes alimentaires qui fonctionnent !

Le boom des multinationales du cannabis

Depuis 2018, le Canada est le deuxième pays du Monde à avoir légalisé l’usage et la commercialisation du cannabis thérapeutique et récréatif. Alors que le reste du monde tarde à réaliser l’énorme potentiel de ce marché, les grosses sociétés canadiennes de développement du cannabis préparent l’avenir. Leur objectif… vite, il me faut cet article !

Maladie de Lyme : la bête noire des médecins

Vous trouverez dans cet article une présentation de la maladie, et des explications précises sur les soucis qu’elle cause aux professionnels de santé et aux patients. À publier de toute urgence !

 

Mâle Alpha : quand on parle des hommes comme des animaux

Les mâles alpha fascinent : comparés des animaux fiers et sauvages, ce type d’homme attire une majorité de femmes. Quelle est l’origine du concept ? Comment nos relations sociales se structurent concrètement ? Ne laissez pas cet article être publié sur un autre blog que le vôtre…

16 Comments

  1. Vince
    février 16, 2019
    Reply

    Marie, tout ce que tu dis est très juste. Je suis à 100% d’accord avec toi.
    Du coup je me dis que ce serait bien qu’à mon tour je rende hommage à Rodrigue pour ce qu’il fait.

    • février 16, 2019
      Reply

      Vince, ne soit pas trop modeste ! Tu fais clairement partie des rédacteurs qui font vivre Wriiters ! J’ose affirmer que tu as produit environ 5% des articles du site… tu es un pilier d’après moi… alors je rend hommage aux rédacteurs de wriiters, et particulièrement aux plus prolifiques !!!

    • AKELEMON
      mai 9, 2020
      Reply

      Bonjour Marie Leloup,
      Puis-je réellement gagner ma vie à travers ma plume ? Cette question, je me la suis posé maintes et maintes, sans vraiment prendre la peine de m’attarder sur le sujet. Mais plus tard, après des années à travailler dans un domaine qui ne me passionnait pas plus que ça, j’ai finalement décidé de prendre mon courage à deux mains et de me lancer.
      Après une semaine de recherches acharnées je suis tombé par pur hasard sur votre article. Et je dois l’avouer vous m’avez redonné de l’espoir.
      Toutefois, dans votre article vous n’abordez pas la question de la candidature. Comment fait-on pour postuler en tant que rédacteur sur Wriiters? Je serai très heureux si vous pouviez me renseigner un peu plus.

      • Marie Leloup
        mai 10, 2020
        Reply

        Je dois vous avouer que je me suis inscrite sur la plateforme à une époque où les inscriptions étaient plus simples : il suffisait d’être un entrepreneur déclaré et de remplir son profil avant validation. S’il est aujourd’hui plus compliqué de s’inscrire, c’est donc plutôt bon signe : la plateforme se porte bien et est en plein développement. La demande des rédacteurs se fait plus pressante et puisque Wriiters à basé son image de marque sur la qualité, vérifier le niveau des rédacteurs prend du temps, d’où le parrainage qui permet de garantir une homogénéité dans la qualité des écrits proposés par les rédacteurs et ne pas impacter l’image d’une plateforme qualitative. Vous auriez pu trouver l’information sans lire tout mon petit blabla, puisqu’elle est disponible sur le site de Wriiters : devenir rédacteur. Vous y trouverez toutes les informations, ainsi que l’évocation de la Wriiters Academy sur Facebook qui saura, je l’espère, répondre à toutes vos questions ! Au plaisir !

  2. Julia B.
    janvier 16, 2020
    Reply

    Bonjour Marie,
    Pour les raisons que tu connais, je viens modérer tes propos pour ceux qui passeront sur ton blog avec en tête la question suivante : « Wriiters, j’y vais ou j’y vais pas ? ».
    Il y a 2-3 choses qui me gênent et expliquent pourquoi je n’écrirai pas sur Writters.
    1/ Pour quelle raison, sur une plateforme de rédaction, trouve-t-on encore des fautes d’orthographe ?
    2/ Pourquoi les rédacteurs ont comme première évaluation une notation 5 étoiles du gérant de la plateforme en personne ?
    3/ Pourquoi certains rédacteurs, systématiquement mal notés par les clients, sont toujours présents sur la plateforme ?
    Je trouve, au final, le système quelque peu opaque, et manquant de clarté. Il n’est, selon moi, pas gage de qualité pour le client. Je ne remets pas en cause tes textes ou compétences, et mon commentaire n’a rien de personnel à ton encontre. Mais je m’interroge sur la transparence de la plateforme…
    Quoiqu’il en soit, très bon article, qui m’a donné envie de sauter le pas et de m’inscrire sur Writters. Tentative avortée par la condescendance de son créateur.
    Bonne continuation à toi, sur la plateforme ou en direct avec tes clients, tu as une plume agréable et incisive 🙂

    • Marie Leloup
      janvier 17, 2020
      Reply

      Ton commentaire permet de relativiser pour les lecteurs mon enthousiasme pour cette plateforme, et montre une autre expérience utilisateur à ceux qui se demandent s’ils veulent ou non participer à l’aventure Wriiters. Tu nous rappelles (au cas où on l’oublierait) que le monde est fait de sensibilités multiples et qu’il n’est pas parfait. Wriiters a deux ans, cet article un an, les choses évoluent en permanence, en fonction de tous les acteurs en présence. Mais ce projet continue de me séduire. Wriiters n’est pas une coopérative autogérée, c’est une entreprise privée. À ce titre, les freelances qui utilisent ce service sont libre d’apprécier ou d’aller voir ailleurs, voir de trouver eux-même leurs clients : c’est la loi du libre entrepreunariat, qui a ses limites et qui n’a jamais consenti ni officiellement ni officieusement à assumer des fonctions sociales et égalitaires du service public qui lui même n’est aujourd’hui plus capable d’honorer ses propres missions. Je souhaite à tous les déçus du capitalisme de créer des modes de vies en accords avec leurs principes, dans le partage, sans hiérarchie, sans argent, etc. Et vive l’idéalisme !

    • Rodrigue
      juin 16, 2020
      Reply

      Bonjour Julia,
      Je suis Rodrigue le gérant de la plateforme.

      Je suis content que tu aies remarqué ces choses, ça prouve finalement que la transparence, on l’a… Mais je vais te répondre point par point quand même.

      1/ Pour quelle raison, sur une plateforme de rédaction, trouve-t-on encore des fautes d’orthographe ?

      Car les rédacteurs sont autonomes, si ils font de la merde, ils seront notés en fonction de leurs compétences, on ne dit nul part que c’est UNIQUEMENT du 5 étoiles, sinon à quoi ça sert de montrer les notes ? Il faut bien que le client puisse juger un rédac, c’est comme un produit, il peut être bon, ou mauvais.

      2/ Pourquoi les rédacteurs ont comme première évaluation une notation 5 étoiles du gérant de la plateforme en personne ?

      Car je suis le premier client de la plateforme et je teste les gens, et je ne me cache pas derrière un pseudo pour ça, je commande aussi via mon entreprise Soumettre.fr, en sous traitance. Tu peux de ce fait retrouver les articles sur certains de mes sites perso, pourquoi je me cacherai ?

      3/ Pourquoi certains rédacteurs, systématiquement mal notés par les clients, sont toujours présents sur la plateforme ?

      Car ils peuvent encore s’améliorer, et qu’on ne s’arrête pas à la première note négative reçue. Et en attendant que le rédacteur rattrape le coup et s’améliore, le client doit être conscient du « risque » souvent proportionnel au prix du contenu.

      On ne t’a pas prouvé notre transparence avec tout ça ?

      Sérieusement, j’aimerais vraiment n’avoir que l’élite, mais dans les faits, certains profils correspondent à des attentes clients, et tant que les erreurs ne sont pas graves, on va pousser les rédac à se surpasser pour se rattraper.

      Et dans un sens comme dans l’autre, on ne ment pas. Après tu en déduiras que les personnes mal notées, sont aussi ceux qui vendent le moins, cqfd.

  3. mai 6, 2020
    Reply

    Bonjour,

    Comment se passe le parrainage pour s’inscrire sur Wriiters s’il-vous-plaît ?

    Merci de votre attention.

    • Marie Leloup
      mai 10, 2020
      Reply

      Comment trouver un parain Wriiters ? Je viens de ne pas répondre à cette question dans un précédent commentaire, mais tu y trouvera les informations que tu cherches, et notamment ce lien Wriiters Academy sur Facebook qui te permettra d’échanger avec des rédacteurs de la plateforme qui pourront mieux te conseiller.

  4. Gaëlle
    décembre 23, 2020
    Reply

    Bonjour Marie,

    Merci pour ces éléments!

    La page Facebook de la Wriiters Academy n’étant plus active, j’ai adressé un mail à Wriiters afin de connaître la marche à suivre.
    Réponse automatique : aucune information ne sera donnée par ce biais aux rédacteurs car tout est indiqué sur le site. Site qui renvoie, donc, vers la page Facebook qui n’existe pas.

    Argh. Je peux rester éternellement dans ce mouvement perpétuel mais je n’ai toujours pas mes informations! : ) Bref, savez-vous (ou si Rodrigue passe de nouveau par là, petite bouteille à la mer…) s’il est encore possible de rejoindre Wriiters et comment, dans ce cas, trouver un parrainage?

    Merci d’avance (et belles fêtes!)

    • Marie Leloup
      décembre 23, 2020
      Reply

      Je n’ai en effet pas mis à jour mon article : le slack et la page Facebook sont fermés, mais le site tourne toujours. Je n’ai donc aucune idée de comment communiquer en dehors des organes officiels et des adresses électroniques de support. Envoie déjà ta candidature comme c’est indiqué. Pour le parrainage, comme son nom l’indique, c’est bien de connaître les gens. Je ne conseille pas Wriiters pour débuter, surtout dans la configuration actuelle. Sur les groupes Facebook, tu peux rencontrer des rédacteurs, partager tes textes et ton portefolio et te faire connaître. Ce type de réseautage permet en effet de créer des contacts et de provoquer l’envie de parrainage. Il faut prendre les choses dans l’ordre pour mettre toutes les chances de son côté.
      Bonne quête et bonnes fêtes à toi et tes proches !

  5. Yannik Le Gal
    juin 16, 2021
    Reply

    Un grand merci à Marie Leloup pour ses articles. C’est sincère et c’est bien écrit. Bravo donc. Pour ma part, je suis un jeune rédacteur de 70 ans et je cherche à percer dans cet exercice. Je fréquente Woizi, Scribeur et Rédacteur, mais naturellement je manque de références. Je suis en train de créer un site WP avec Google. J’ai bien sûr un siret et je maitrise à peu près les balises et titres html. Quel pourrait être le meilleur conseil à me donner, sachant que je suis aussi biographe et auteur de romans. Merci d’avoir la délicatesse de me répondre, voire de m’encourager. YLG

    • Marie Leloup
      juin 17, 2021
      Reply

      Merci à vous pour ce commentaire enthousiaste ! Me voici face à une personne surdiplômée en quelque sorte : biographe et auteur de roman ! Pourquoi ne pas continuer sur cette voie ou proposer vos services en écrivant des livres blancs ? Tous les rédacteurs ne sont pas spécialisés dans les textes longs, voire très longs ! Ghostwriter ?

      Commencer par créer un blog est une excellente idée pour expérimenter concrètement le référencement naturel (si vous souhaitez aller vers le SEO).

      Pour trouver des clients qui correspondent à vos compétences : inscrivez-vous sur Malt(ou autre plateforme de freelance) et chouchoutez votre présentation.

      Pour le SEO et l’expérience utilisateur, il faut toujours aller vers les besoins du client. Parlez moins de vous que de ce que vous pouvez apporter et tentez de vous rendre visible en apportant une offre unique et incontournable. C’est ce que je retiens, en deux phrases, du webmarketing (qui est votre nouvel environnement). Pages à propos, livres blancs, copywriting, articles de blogs (spécialisés ou non dans une thématique), articles de fond, communications sur les réseaux sociaux, storytelling : mettez en avant vos spécialités ou formez-vous selon vos envies.

      Pour trouver des clients, vous pouvez également contacter votre entourage ou prospecter dans des entreprises que vous connaissez qui ont un site web dont les contenus sont pauvres, non exhaustifs ou ne donnent pas très envie de passer à l’action, etc. Pour ma part, j’ai beaucoup appris sur la relation client en faisant du bénévolat (paradoxal ?) : cela m’a permis de mieux comprendre les besoins, les blocages, les limites et le potentiel des contenus publiés, ainsi que de saisir ce qu’est une image de marque, comment « parler au nom d’une organisation », reprendre son univers et son vocabulaire, et parfois savoir proposer des « revirements sémantiques » nécessaires pour obtenir davantage de visibilité sur les requêtes les plus populaires.

      C’est un métier peu reconnu et les clients qui pourraient le mieux profiter de vos services sont rarement matures en ce qui concerne l’achat de contenus de qualité SEO et rédactionnelle. C’est pourtant le nerf de la guerre.

      Il y a finalement plusieurs métiers sous le titre de « rédacteur web » cela ferait un excellent sujet d’article. Par exemple, travailler pour des plateformes est adapté pour les personnes qui ne souhaitent pas s’engager dans une relation avec leurs clients. Il y a des avantages et des inconvénients.

      J’ai essayé de répondre largement, peut-être trop, n’hésitez pas à recentrer vos questionnements pour de plus amples informations.

  6. Stéphanie
    février 15, 2023
    Reply

    Je me suis inscrite en tant que rédactrice sur Wriiters et j’ai reçu les conditions générales que l’on me demande d’approuver. Certains éléments paraissent assez choquants:
    – Le taux de commission de 30% appliqué par la société est assez élevé. Surtout, ce taux n’est mentionné nulle part dans les conditions générales que Wriiters demande au futur rédacteur d’approuver, ce qui signifie qu’il pourra être augmenté sans préavis.
    – Les versements de Wriiters au rédacteur ne seront effectués que s’ils atteignent au moins 100 euros, ce qui signifie que si le rédacteur vend ou plusieurs articles qui n’atteignent pas ce montant au total (après déduction faite des frais prélevés par Wriiters), il ne sera jamais payé.
    – Le solde que la société doit au rédacteur lorsque celui-ci cesse sa collaboration n’est pas payé s’il est inférieur à 100 euros.
    – Encore pire, le compte du rédacteur est automatiquement clôturé s’il n’est pas utilisé pendant deux mois et l’argent que Wriiters devait au rédacteur ne sera pas payé. Dans ces conditions, nul doute que la société soit rentable…
    – Pour couronner le tout, toute sollicitation du rédacteur auprès de la société pour obtenir un renseignement alors que la solution est censée se trouver dans les FAQ donnera lieu à un malus de 10% pour le rédacteur.
    Je doute fort d’ailleurs que cette dernière condition soit juridiquement valable. Justement, d’un point de vue juridique, les conditions générales qu’il est demandé au futur rédacteur d’approuver contiennent plusieurs inexactitudes.
    – Il y a visiblement confusion entre « société » et « entreprise », puisqu’il est écrit « Chaque rédacteur doit être en société », alors qu’en fait le rédacteur doit seulement être un professionnel indépendant déclaré, c’est-à-dire avoir un numéro SIRET. Pour le fondateur ou le gérant d’une société, cette erreur est assez surprenante.
    – Les conditions générales confondent aussi « commissions » (c’est-à-dire le prix que Wriiters, l’intermédiaire, déduit pour ses prestations) et prix de vente versé au rédacteur.
    – Quant au contenu sur mesure qui est commandé par un client, rien n’est précisé dans les conditions générales. Le client n’a pas la possibilité de choisir le rédacteur, donc comment l’attribution d’une rédaction est-elle décidée ?
    Bref, tout cela sent l’amateurisme et la possibilité d’arbitraire de la part du gérant. Je doute que celui-ci soit compétent pour apprécier la qualité d’articles d’ordre juridique ou technique. Dans ces conditions, consacrer du temps à rédiger pour cette plateforme me semble assez hasardeux.
    Si on regarde la liste des rédacteurs sur le site, ils sont plus de 600, dont la très grande majorité n’ont aucune évaluation. Il est probable qu’ils n’ont vendu aucun article, ou juste quelques-uns. Deux ou trois ventes peuvent-elles justifier le temps passé à rédiger tous les articles proposés ? Encore faut-il pouvoir retirer ses gains, ce qui ne semble nullement évidemment vu les conditions draconiennes imposées.
    Je serais curieuse de connaître l’avis d’autres rédacteurs inscrits sur cette plateforme …

    • Marie Leloup
      février 26, 2023
      Reply

      Je vous conseille, vu votre appétit pour la rigueur et la précision, de ne pas perdre votre temps sur les plateformes. Tout au plus, faites-vous un compte sur Malt, trouvez vos premiers clients et fixez vos propres règles. Vous gagnerez un temps précieux.

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