Adopte un Panda et deviens le roi des contenus !

Connaissez-vous l’animal totem du rédacteur Web SEO ? Le panda bien sûr, la réponse était dans le titre de l’article… L’algorithme Panda, mis en action par Google en 2015, est chargé de sanctionner les sites de mauvaise qualité rédactionnelle, ou de favoriser les contenus de qualité (partisan du verre à moitié plein ou à moitié vide ?). Ceux qui ont compris ça parviennent aujourd’hui à rester bien positionnés dans les classements de la SERP, et donc visibles. Pourquoi le rappeler une fois de plus ? Parce que ça n’est pas encore clair pour tout le monde, visiblement. En 2020, après cinq ans du règne des contenus sous la houlette de l’ours végétarien, il est enfin possible d’hurler au monde entier que si vous ne savez pas faire un bon texte, vous pouvez confier vos contenus à un rédacteur Web SEO. En plus d’améliorer la popularité de votre site, un article complet et agréable à lire est un atout majeur de votre référencement dans les moteurs de recherche. Une preuve ? Ce modeste site : faites mieux et savourez votre notoriété.

Le panda préfère les fibres à la bouillie

Si les fibres sont excellentes pour le transit intestinal, les contenus de qualité sont excellents pour un bon trafic organique. C’est ce que Google, notre diététicien des nourritures digitales, préconise pour favoriser et garantir la meilleure expérience utilisateur : c’est son image de marque.

Le bourrage de mots-clés, les phrases bancales où l’on vous propose de trouver le meilleur serrurier Paris, les titres et les sous-titres d’articles bourrés du même mot-clé qui revient comme une litanie… Toutes ces pratiques SEO entre la vie et la mort viennent encombrer les pages du web, ennuient les lecteurs et donnent même envie de pleurer aux rédacteurs web à qui l’on demande de travailler à l’ancienne. Pourtant, le poids de la tradition en référencement naturel n’a quasiment aucune valeur : la flexibilité et l’adaptation permanente sont de mise.

Donc on oublie la bouillie textuelle et on se concentre sur les contenus à forte valeur ajoutée : c’est Panda qui le dit…

Quand les premiers de la classe entrent dans l’arène du Web marketing

Contrairement au koala, dont on prétend qu’il se drogue à l’eucalyptus, le panda se nourrit principalement de bambou… C’est un ours végétarien, je le répète, et dans la jungle du web marketing, rien ne me fait plus penser à un ours végétarien qu’un rédacteur Web… (oups, j’espère ne pas me positionner sur le mot-clé « ours végétarien », j’ai maintenant 4 occurrences)

Je ne suis pas une vétérante du Web, je n’ai pas pu observer les mutations permanentes du métier de SEO (qui serait plutôt une sorte de petit singe agile ou un renard fou)… Pourtant, je me plais à imaginer que lorsque l’algorithme Panda est sorti, la porte des métiers du Web s’est ouverte pour les littéraires… Tous les amis des mots, de l’orthographe et de la richesse sémantique ont débarqué sur le Web, la bouche en cœur et le regard effarouché…

Souvent, cette catégorie de personnes, que la vie destinait probablement à la fonction publique, n’ont pas l’âme des battants du marketing. Au lieu de vous balader dans une digression peu subtile et longue, je vais en venir droit au but :

  • si vous êtes un bon rédacteur web qui produit des contenus à forte valeur ajoutée, vendez vos productions au prix qu’elles valent ;
  • si vous êtes un mauvais rédacteur web, devenez bon ;
  • si vous êtes mauvais en rédaction, faites appel à un bon rédacteur SEO et faites-en un allié précieux en le rémunérant correctement ;
  • si votre orthographe vous pénalise, prenez un correcteur ;
  • si vous n’avez pas encore compris que la qualité fait la différence, faites une veille SEO.

Les contenus de qualité ont un fort potentiel marchand

Seuls les lecteurs les plus téméraires auront la chance de lire ce dernier paragraphe… C’est le plus intéressant : la ténacité, c’est souvent payant. Il y a plusieurs types de contenus à forte valeur ajoutée :

  • l’article viral : il a un tel intérêt que le lecteur a envie de le partager, il apporte un trafic immédiat sur votre site, et plus il amène de trafic, plus il vaut cher ;
  • l’article riche sémantiquement : les articles optimisés pour le SEO de plus de 2000 mots sont des boosters de référencement, c’est pourquoi ils coûtent souvent plus de 300 €, c’est un investissement, et s’il est bien fait, plusieurs jours de travail ;
  • le cocon sémantique : composé de plusieurs articles qui renvoient sur la page à mettre en avant, ce type de contenus a fait ses preuves en matière de référencement naturel, composé de plusieurs textes optimisés, c’est un excellent investissement ;
  • l’article expert inédit : son objectif est de se positionner sur une requête en apportant des informations qui n’ont pas encore été éditées sur le Web, si l’article est correctement optimisé et si le titre est attrayant, il est bien possible que ce texte devienne une référence : vous confortez alors une expertise ; encore un investissement : la confiance vaut de l’or ;
  • l’article ramasse-miettes : lors de l’élaboration d’une stratégie éditoriale, c’est normal, on vise haut et on cherche à se placer sur des requêtes à fort volume (concurrentielles), pourtant, un article bien foutu qui ramasse toutes les requêtes à faible volume peut apporter un trafic important dans certaines thématiques, il faut le savoir ; vous n’auriez pas pensé que ce type d’article valait quelque chose ? Pourtant si, c’est un article qui peut avoir un excellent rapport qualité-prix ;
  • l’article multi-tâche : c’est la crème de la crème, un article bien optimisé, long, au contenu hautement informatif, qui fait le buzz. Rien ne vous empêche de créer ce genre d’articles. Il peut apporter du trafic à un blog par le biais des réseaux sociaux, avant même d’être indexé par Google, sachant que les partages sur LinkedIn, par exemple, sont pris en compte par la Google Search Console (qui ne peut être écartée d’un revers de main lorsque l’on parle de SEO)… Ce type d’article, on n’en trouve pas en dessous de 300 €… et encore, c’est cadeau.

Quid des fautes d’orthographes ?

Pour le moment, aucun algorithme ne pénalise les erreurs orthographiques. Une orthographe irréprochable aura cependant un impact sur vos lecteurs les plus instruits. Selon la cible que vous visez, l’orthographe peut donc représenter une véritable valeur ajoutée. C’est alors votre image de marque qui sera affectée : je sais de quoi je parle, j’ai un handicap léger en orthographe, rédhibitoire pour un rédacteur Web, c’est pourquoi je fais appel à une correctrice pour mes écrits professionnels : encore une compétence à valoriser.

Que vous soyez acheteur ou producteur de contenus, renseignez-vous donc sur le potentiel et la valeur, en termes de notoriété, de visibilité et d’image de marque, de vos contenus. Voilà, la messe est dite.

 

3 Comments

  1. juin 15, 2020
    Reply

    Magnifique la photo du Panda !

    Et les explications, n’en parlons pas. J’ai appris les différents tarifs et facettes que revêtit le métier et les prix que vous proposez.

    • Marie Leloup
      juin 16, 2020
      Reply

      Merci Sophie ! N’hésites pas à te former et à créer des contenus sur ton propre blog pour mieux comprendre le SEO (en le connectant à la Google Search Console) : tu comprendras par toi même la valeur de tes écrits et les tarifs que tu peux proposer.

  2. […] vous souhaitez avoir une communication responsable et intègre. Heureusement, ça va aussi dans le sens des algorithmes Google pour le référencement naturel (mais pour ça, il faut accepter d’y mettre le prix, cf plus […]

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